La loi du 11 février 2005
La loi du 11 février 2005
11 février 2005
La loi « pour l’égalité des
droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes
handicapées » du 11 février 2005
En 2005, on recensait plus de cinq
millions de personnes handicapées en France, soit près de 10% de la population.
Soucieux d’offrir les moyens d’une réelle citoyenneté aux personnes
handicapées, Jacques Chirac annonce en 2002, la décision de faire de l’insertion
des personnes handicapées, l’un des « trois grands chantiers » de son
quinquennat. Une ambition qui s’inscrit dans une volonté de « renforcer
notre cohésion nationale pour davantage de justice et donc davantage
d’attention aux plus vulnérables ».
Trois ans plus tard, en 2005,
l’adoption de la loi traduit la volonté de sensibiliser la société civile ainsi
que les employeurs à cette problématique. Toute personne handicapée a le droit
« à la solidarité de l’ensemble de la collectivité nationale ».
Cette politique volontariste
concrétise des principes forts :
- L’accessibilité
généralisée pour tous les domaines de la vie sociale (éducation, emploi,
cadre bâti, transports...)
- Le droit
à compensation des conséquences du handicap
- La
participation et la proximité, mis en œuvre par la création des Maisons
départementales des personnes handicapées.
Une définition légale du handicap
La loi du 11
février 2005
A
retenir : La loi
du 11 février
2005 la Maison Départementale De plus,
cette loi s’attache à des principes forts : Þ Permettre une accessibilité généralisée
pour tous les domaines de la vie sociale Þ Ouvrir un droit à la compensation des
conséquences du handicap Elle permet
également de définir la notion de handicap. |